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Fadwa Barghouti à Nanterre

Merci à l’AFPS Nanterre de m’avoir permis de rencontrer hier soir Mme Fadwa Barghouti avocate palestinienne et femme du député palestinien Marwan Barghouti emprisonné dans les joeles israélienne depuis 23 ans, et sans discontinuité depuis 16 ans.
Il était le président du groupe d’amitié France Palestine au conseil législatif palestinien.
Elle est interdite de visite, depuis deux ans.
Son témoignage est émouvant, celui que de nombreux Palestiniens pourraient tenir.
Il y a aujourd’hui 6000 prisonniers palestiniens dont 350 enfants, oui dés enfants.
Les droits des prisonniers ne sont pas respectés, pour Marwan Barghouti il est condamné 4 fois à perpétuité sans raisons.
Nous avons parlé du cas de Salah Hamouri et de Ahed Tamimi figures emblématiques de l’arbitraire israélien, qui ne respectent aucun droits internationaux en la matière.
Marwan Barghouti est le Mandela palestinien, continuons de dénoncer ces injustices.
Merci à toutes ces villes qui font de lui un citoyen d’honneur, demain ça sera le cas de Vandoeuvre les Nancy, merci Stephane Hablot.

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Un an de sport santé à Nanterre!

#sport#sante#Nanterre
À la première fête de fin d’année Sport Santé de l’Omeps j’ai rappelé la volonté de la ville de s’inscrire dans cette démarche innovante qu’est la prescription du sport pour les personnes souffrant de pathologies chroniques, quelles qu’elles soient.
Pendant longtemps le sport a été considéré que pour les personnes bien portantes, pire on excluait les malades.
Alors qu’au contraire le sport favorise, améliore la santé et contribue à l’efficacité des traitements.
Des la sortie du décret, la ville de Nanterre s’est engagée avec l’Omeps et à travers son centre medico sportif, pour permettre aux nanterriens de bénéficier de ces nouveaux dispositifs de soins, oui le sport, l’activité physique est un soin comme un autre.
L’Omeps contracte pour nous avec des éducateurs sportifs spécialisés de qualité pour la réalisation des séances.
Près de 200 personnes ont déjà bénéficie de prescription sport santé.
Nanterre a même été désigné centre principal des Hauts-de-Seine.

Jean Pierre Guilly président de l’Omeps
Avec les éducateurs sportifs, Ismail Ichaoui
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Projection-Débat, L’état d’Urgence, il est urgent d’en parler! Nanterre – mercredi 20 juin- 19h

L’état d’urgence, il est URGENT d’en parler !

La LDH 92 et LDH Nanterre vous invite

>>>>>Projection –débat du court métrage en 3 volets
« Attentifs ensemble » réalisés pour l’Observatoire de l’état d’urgence dont la LDH fait partie, dans le but de dénoncer l’instauration d’un état d’urgence permanent qui sape les fondements de la démocratie au prétexte de défendre celle-ci.
En présence de Malik Salemkour, président de la Ligue des Droits de l’Homme

>>>>>Présentation également de l’Ouvrage « L’Etat d’urgence (permanent) » témoignages et analyses, en présence des auteures : Hassina Mechai et Sihem Zine

 

MERCREDI 20 JUIN 2018 –19H
AGORA, 20 RUE STALINGRAD, RER NANTERRE VILLE
En partenariat avec le MRAP, les Oranges, Les mamans des Pablo, la maison d’édition Melting Book
 
L’état d’urgence n’a pas pris fin le 1er novembre 2017.  Malgré les alertes répétées de nombreuses organisations de défense des droits de l’Homme ses mesures ont été inscrites dans le droit commun via la loi  n° 2017-1510 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (SILT) — plus communément appelée loi antiterroriste et promulguée le 30 octobre 2017 par le Président de la République.
 
Attentif au respect des droits et des libertés fondamentales, l’Observatoire de l’état d’urgence s’inquiète de voir l’empilement des lois sécuritaires menacer l’État de droit et lance une campagne pour dénoncer l’instauration d’un état d’urgence permanent qui sape les fondements de la démocratie au prétexte de défendre celle-ci.
 
 L’Observatoire de l’état d’urgence, créé en janvier 2016, est un regroupement d’associations, d’organisations et de syndicats qui veillent à la défense des droits et des libertés fondamentales et sont mobilisés pour sortir de l’état d’urgence permanent et dénoncer l’inscription de ses mesures liberticides dans le droit commun.